Au cours du repas de l’Action de grâce ce week-end au Canada et le mois prochain aux États-Unis, différents sujets d’actualité sont abordés.
Entre « Passe-moi la sauce aux atocas s’il-vous-plaît », le bréchet, cet os de volaille qu’on casse après avoir fait un souhait, et les dernières nouvelles au sujet de la tante Rollande, l’énergie pourrait bien venir sur le tapis, particulièrement en raison des manchettes récentes sur les sables pétrolifères.
Un récent sondage Ipsos Reid (PDF) indique que les Canadiens sont plus que jamais partagés en ce qui concerne les Sables pétrolifères. À peine plus de la moitié des participants – 51 % – croient que les besoins énergétiques au Canada l'emportent sur les risques environnementaux. Le reste des Canadiens – 49 % – placent la préservation de l'environnement avant le développement des besoins énergétiques du pays.
Fait intéressant, l’étude a révélé que presque le quart (22 %) des Canadiens qui ont entendu parler des sables pétrolifères ne savent pas ou ne se préoccupent pas assez de cet enjeu pour avoir une opinion.
Si on ajoute la proportion qui n’a pas entendu parler de la mise en valeur, ce sont quatre Canadiens sur huit (42 %) qui sont soit profanes, soit indifférents en ce qui touche les sables pétrolifères. Ces résultats suggèrent qu’une connaissance et une sensibilisation accrues du projet de sable pétrolifères pourraient faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre à mesure de le débat gagne en intensité.
Nous croyons que le temps est venu d’aborder directement la question des sables pétrolifères. Et, quand il est question d’information, connaître tous les tenants et aboutissants contribue à enrichir la discussion. C’est pourquoi nous faisons appel à votre aide. Pourquoi ne pas faire parvenir le bulletin Flash sur les Sables pétrolifères à vos amis et collègues et les encourager à s’inscrire. Ou demandez-leur de nous envoyer un courriel à info@osqar.ca et nous ajouterons leur nom à notre liste.
D’une façon ou de l’autre, ils vous en seront reconnaissants.
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