Suncor s’est toujours fait un devoir de discuter avec les parties intéressées, y compris les groupes sociaux en environnementaux qui ne sont pas toujours des partisans de l’industrie des sables pétrolifères. Certaines de ces réunions ont inclus des visites de nos installations.
Les groupes canadiens ont reçu du financement de fondations américaines pour faire campagne contre les sables pétrolifères. Photo : iStockphoto.
Nous désirons avoir ces discussions dans une atmosphère de respect mutuel. Notre objectif est de créer un dialogue constructif dans lequel nous pouvons mettre de l’avant différentes perspectives, particulièrement celles qui contribuent à trouver des solutions véritables au défi de l’équilibre des besoins énergétiques et des impacts environnementaux, sociaux et économiques.
À titre d’entreprise canadienne dont la majorité de ses activités se déroulent en Alberta, presque toutes nos discussions se sont déroulées avec des parties intéressées régionales ou canadiennes. Cela inclut bien sûr les peuples autochtones dont les terres ancestrales ont été touchées de même que les organisations non gouvernementales de l’environnement (ONGE).
Au cours des dernières années, nous avons élargi le dialogue pour y inclure des groupes à l’extérieur de notre région, province ou pays. Nous réalisons que la gestion des besoins énergétiques pour une population mondiale totalisant presque huit milliards de personnes touche des parties intéressées situées partout dans le monde.
Selon la chroniqueuse et chercheure de Vancouver, Vivian Krause, les organisations américaines ont donné plus de 4 millions de dollars américains à des ONGE canadiennes pour effectuer des campagnes contre les sables pétrolifères.
Selon nous, les discussions portant sur les sables pétrolifères avec de multiples parties intéressées représentent une occasion d’enrichir un dialogue axé non seulement sur les enjeux régionaux mais aussi mondiaux. Grâce à cela, nous pourrions créer un terrain d’entente et faciliter la compréhension des enjeux. De toute façon, qui a besoin d’une excuse pour aller en Californie l’hiver?
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