Ce que l’on raconte sur Fort McMurray est bien connu. Et malheureusement pour les gens qui vivent et travaillent dans la municipalité régionale de Wood Buffalo, c’est une histoire peu flatteuse.
De nos jours, la plupart des commentaires concernant Fort McMurray semblent renforcer les stéréotypes sur cette communauté. On ne compte plus les documentaires, les perspectives de la part de célébrités activistes en visite dans la région et les articles de journaux. Fort McMurray est connue comme une ville frontalière sauvage « aux habitants tricotés serré » et le portrait qu’on en fait est souvent étayé de détails sensationnalistes, voire de mauvais goût.
Nous sommes d’avis que tout ce contexte dessert les lecteurs et les spectateurs, car il fait fi des éléments positifs de cette collectivité unique et dynamique. Suncor partage l’immense fierté des gens de la région. C’est pourquoi nous présentons cinq faits que vous ne connaissez peut-être pas au sujet de Fort McMurray.
1. Fort McMurray n’est pas une ville frontalière.
La municipalité régionale de Wood Buffalo regroupe plus de 120 000 habitants dynamiques (dont plus de 77 000 à Fort McMurray) et continue d’attirer des gens de plus de 100 pays à travers le monde. Avec 44 pour cent de sa population sous le seuil de la trentaine, la région offre à ses résidents d’importants sites récréatifs, notamment l’accès au plus grand centre récréatif de l’Ouest canadien et un réseau de sentiers de calibre mondial. La région s’enorgueillit également d’une gamme complète de centres sportifs, de piscines, de centres culturels et de plus de 70 restaurants.
Le secteur des arts et de la culture est également bien vivant à Fort McMurray. Des galeries d’art aux théâtres en passant par les festivals, Fort McMurray célèbre sa culture spécifique et les origines diverses des gens qui y habitent.
2. L’appui de l’industrie à Fort McMurray va au-delà des affiches.
À Fort McMurray, l’appui de l’industrie dépasse la signature de chèques et l’ajout d’un logo sur des affiches. On parle d’engagement réel à bâtir la qualité de vie de la collectivité. Les secteurs science et technologie, alphabétisation, développement jeunesse, formation des Autochtones, culture, santé et récréation, entre autres, bénéficient d’importants investissements communautaires.
3. Leadership et innovation sont présents à Fort McMurray.
Social Prosperity Wood Buffalo est un projet communautaire de collaboration visant à stimuler et maintenir l’innovation et les changements sociaux dans la région. Il y a aussi le Redpoll Centre (redpoll – en français sizerin flammé : oiseau robuste vivant à l’année dans la région); il s’agit d’un espace partagé pour aider les organismes à but non lucratif à regrouper leurs ressources et à collaborer à des objectifs et des projets communs. Ce centre contribue à améliorer la vie communautaire.
4. L’esprit philanthropique se porte bien.
Fort McMurray est reconnue par United Way comme la communauté la plus généreuse au Canada depuis cinq années consécutives.
5. Les gens de Fort McMurray et de la région se soucient de l’environnement.
Résolument tournée vers la mise en valeur des sables pétrolifères, il n’est pas surprenant que l’environnement fasse l’objet d’une grande attention. Qu’il s’agisse de trouver de nouvelles façons de minimiser la perturbation du terrain ou d’accélérer la restauration, les employés le font en sachant qu’ils contribuent à la collectivité où ils habitent et travaillent. Cet esprit s’étend à toute la ville, qui dispose de programmes de collecte sélective porte à porte et de détournement des déchets; Fort McMurray a été l’une des premières villes au pays à avoir interdit totalement l’utilisation de sacs de plastique dans les établissements de vente au détail (donc si vous venez y faire un tour, n’oubliez pas vos sacs recyclables).
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